Cours de Séduction, pardon d'Histoire des Sorts || Marsilia && Yzia +18

Cours de Séduction, pardon d'Histoire des Sorts

C'était mon premier jour dans cette nouvelle école, comme à chaque fois je me trimballais plutôt que d'assister aux cours. En plus pour une fois j'avais la matinée de libre, certainement pour que nous les méchants ; on se remette de notre long voyage. Ou j'avais été malade comme une chienne, ce qui pour moi était une réelle insulte. Je m'amusais à marcher sur une poutre en équilibre parfait, tandis que j'attendais que le temps passe.

Je suivais du regard chaque personne qui passait, et là dans le lots. Je la vie ELLE, somptueuse, majestueuse, vivifiante.... Elle était si belle et elle inspirait le respect et, surtout mon amour. On aurait dit une Vici en plus mature, moins folle. Pile ce que j'aimais chez une femme, sans m'en rendre compte je me suis mise à la suivre, il fallait que je sache qui elle était, elle rejoignit une salle de classe, je la suivait au culot le plus total que j'entrais avec les autres.

Je mis juste devant elle, avec un sourire provocateur, personne dans la classe n'allait pouvoir voir mon petit jeu, à part elle bien sur. Je déboutonnais légèrement mon chemisier offrant une jolie vue à ma délicieuse professeur. Le petit S gravée à même ma peau par Vicieuse était visible pour quelqu'un qui se serait plongé dans la vision de mon décolleté plongeant.

De plus je remontais un peu ma jupe déjà courte, offrant une vision d'ensemble, en plein milieu du cours (je ne prenais même pas de notes, je fis tombé sans faire exprès mon stylo, je me penchais donc, me mettant a 4 pattes pour l'attrapé. Puis je m'installais les jambes un peu plus écartées, la regardant dans les yeux. Je lui adressais un petit clin d'oeil à la fin du coup, prenant pourtant toooout mon temps pour ranger mes affaires...

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Cours de Séduction, pardon d'Histoire des Sorts

Depuis quelques temps, j’enseignais dans cette école et en particulier les cours d’histoire des Sorts. Pendant de très nombreuses années, un siècle exactement, j’avais appris tout mon savoir sur la magie avec le meilleur professeur possible, la déesse de la magie, Hécate. J’adorais donner des cours et celui-là, serait surement le meilleur de ma longue vie.

Je venais apparaître dans mon habitude dans une espèce de tempête d’éclair et toujours droite comme un iota et je marchais dans les couloirs bondés de cette académie. J’avais un cours dans exactement dix minutes et trente secondes. En regardant ma montre, j’ai senti comme un courant d’air me caressant l’échine, comme si une paire d’yeux avait suivi ma marche. Cela m’inquiétait, car je savais que Zeus n’aurait pas de répit avant de m’éliminer purement et simplement de la Terre. Pourtant, ma mère avait réussi à lui faire promettre sur le Styx de ne pas m’attaquer tant que je ne revenais pas souvent sur le mont Olympe.

Au bout de huit courtes minutes, j’ai pénétré dans la salle de cours et je me suis dirigée vers mon bureau avant de m'asseoir dessus pour débuter mon cours. Ce dernier se passait très bien, sauf que la jeune fille devant faisait monter ma chaleur corporelle de plusieurs degrés. Au début, elle n’a fait que déboutonner légèrement son chemisier et tandis que mes yeux glissèrent le long de son cou de cygne, j’ai pus apercevoir un petit s graver sur sa peau « S comme soumise » me suis-je dit. Elle me devenait de plus en plus intéressante, je devais continuer mon observation, jusqu’à savoir si c’était pour moi, qu’elle fessait tout cela.

Ensuite, la jeune femme remonta encore sa mini-jupe pour me faire voir qu’elle n’avait pas de culotte : « Mais quelle petite salope » Me suis-je dit dans ma tête en continuant mon cours, avec un peu plus de difficulté, vu que mes yeux étaient bloqués sur la vision de son sexe nue et jeune. Elle continua son manège en se mettant à quatre pattes pour ramasser ses affaires qu’elle avait fait exprès de faire tomber, puis en écartant les jambes. « Toi, tu es à moi » Me suis-je dit dans ma jolie petite tête blonde.

Une fois la cloche sonnée, la jeune femme terminait de ranger ses affaires tandis que moi, je la regardais avec beaucoup d’envie. D’un mouvement rapide, je m’approchais d’elle pour lui coller avec force la poitrine sur le bureau et en claquant des doigts, je fermais la porte. « Je vais t’apprendre à m’exciter comme ça, ma petite chienne » En souriant, je lui ai attrapé les cheveux et soulever sa jupe pour mettre ses fesses à l’air libre. « Excuse toi pour être une aussi ignoble esclave ». Ma main tomba d’un coup sec et violent sur son cul : « Excuse toi, c’est un ordre !! » Je mettais toute ma force dominatrice dans ma voix, malgré mon excitation très importante et la douceur quand je sentais mon liquide intime glisser le long de mes cuisses.

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