Child of the fairy - Dylan G. Blue

J'ignore tout ce qui est lié à ma conception, ma mère n'a jamais voulu m'en parler. J'ignore le nom de mon père, ce qu'elle a ressentit pour cet homme, j'ignore même s'il y avait eu quelqu'un pour Pimprenelle. Mais je sais qu'elle a enfanté, et que je suis né le même jour. Cette fée avait eu l'aide de mes tante, Flora et Pâquerette.

À elles trois, elles m'élevèrent et il me fut permit de grandir dans ce monde de magie, non loin du château de Thalie, loin des autres fées. J'étais un enfant solitaire, pas par manque de présence d'autres personnes de mon âge, j'avais quand même deux cousines, mais leurs histoires ne m'intéressaient pas, sans compter la différence d'âge qui était suffisamment grande et la différence du sexe.

Quand j'atteignis un âge assez élevé pour la prudence, ma mère commença à m'enseigner la magie, d'abord des chose anodine et simple, puis des choses plus importantes et plus complexes sur mes talents. Je me souviens, la première chose qu'elle m'ait montré, c'était de modifier ma taille. Le début de mon apprentissage se faisait à la maison, mais mère et mes tantes n'avait pas confiance en l'école pour enseigner la magie féérique. Mais à mes douze ans, j'avais réussi à convaincre ma mère à me laisser y aller. Durant cinq ans, j'ai été un élève model et studieux. Je vous laisse imaginer un peu la suite, on m'a emmené une fois ou deux - on m'avait un peu forcer à suivre - dans les boites. Si au début, j'étais loin d'être à l'aise dans ces lieux, quand j'ai commencé à suivre les autres volontairement, j'avais droit à des heures de plaisir parmi ces personnes. Je pouvais me détendre, me libérer de cette tension causé par les cours et même de celle causé par le fait d'être le fils de Pimprenelle, l'une des fées ayant béni et sauvé Aurore des Boisdorés. J'étais, dans ces lieux de fête, quelqu'un de normal, sans la pression de l'ascendance, j'étais un homme normal, pour une fois. Et j'avais la chance que ça n'affectait pas trop mes résultats scolaire.

J'allais devoir changer de mode de vie, si j'étais encore dans mon royaume natale, j'avais été admis à l'académie royale. Je me suis rendu par mes propres moyens. À quoi bon peut servir une voiture quand on a des ailes ? Et j'allais commencé à étudier dans l'académie, enfin.